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un grand dadet de trente piges
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un grand dadet de trente piges

VIP-Blog de odysseus
  • 20 articles publiés
  • 12 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 10/03/2005 11:26
    Modifié : 19/01/2007 17:56

    Garçon (30 ans)
    Origine : Nanterre
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    Carte postale

    19/01/2007 17:56

    Carte postale


    De Londres,

     

    Pour toi, chère petite soeur.

     

    Je sais que je n'ai pas été beaucoup présent ces dernieres années, et que je n'ai aucune escuse.

     

    Mais voilà, j'ai perdu ta trace, j'ai envoyé des lêttres, une peluche et dernièrement une carte de voeux qui m'a été retournée.

     

    J'éspère te revoir un jour ou alors est-ce le destin, et que nous nous reverrons jamais.

     

    Si cela était le cas, saches que je t'ai aimé n'importe où, où j'allais, avec ton dernier visage de petite étoile.

     

    Et saches, qu'où j'irai, ton souvenir m'accompagnera...





     
     


     

    Cela fait longtemps...

    19/01/2007 17:43

    Cela fait longtemps...


    ...et depuis de l'eau a coulé sous les ponts.

     

    Je suis devenu tailleur de pierre et je vais te faire découvrir ma nouvelle odyssée et sans doute, mon nouveau monde...





     
     


     

    histoire du jour...

    20/05/2005 17:44

    histoire du jour...


    la fille du clocher... Vendredi 20 Mai 2005 à 17:58

    C'est un souvenir qui remonte à loin dans une rue de Limoges, toujours à la même heure.


    Toujours au même endroit.


    Toujours la même fille.


    J'avais 17 ans.


    Pourquoi t'écris-je cela?


    Sans doute car comme le dirait on, je suis passé à côté de mon âme soeur.


    Comment aurais-pu je le savoir si c'était elle.


    Elle était belle.


    Belle comme une syrène sans voix et qui laisse sa foule sans voix.


    Une fille aux milles poêmes qui est sans doute devenue femme aujourd'hui.


    Ô Charmant mari! Tu as sans doute entre tes bras, la plus jolie des princesses, et aussi devrais-je rajouter sans oser une poupée de cire ou en porcelaine très fragile.


    Une rose, une tulipe, que sais-je, au-delà de tous les mots et des narcisses qui, par mille, feraient sans blanc et semblant d'exister un instant, pour laisser parraître une beauté qui s'est fait, dans mon inconscient, oublier.


    Je suis loin d'être un Victor Hugo, ou un Oscar Wild, mais les mots restent fidels à cette beauté oubliée.


    Mais tes yeux sont restés.


    Des yeux qui intimident, qui fait froid, chaud et doux dans le dos comme un vent confus et se confondant dans les tripes et les entrailles.


    Le coeur s'emballe, même en hiver, j'en transpirais; je me souviens.


    Doux souvenir, lointain mais tant pis, sans larmes, car les tiennes, je ne les verrais jamais couler et tant mieux.


    Des coeurs meurtris et souffrant encore, que Dieu m'en pardonne, et que chaque jour, qu'il fasse, donne du réconfort en gage de mon silence égaré et ma lâcheté.


    L'orgueil que j'ai porté pendant tant d'années, je l'ai laissé de côté et encore, il me poursuit malgré mes fuites.


    Rage.


    Mais courage, car...


    La fille du clocher, aux yeux couleur Neptune, certain qu'elle a des origines méditéranéennes, mais je ne le saurais jamais, me fais signe sans tarder dans mes rêves et mes pensées.


    Je la sens, son parfum troublant dans la rosée laissée au matin dans cette ruelle qui descend.


    J'ai osé et je m'en rappele encore.


    Osé de lui avoir dit bonjour mais j'en ai pas conscience.


    Sans doute, l'ai je fais, hum.


    Oui! Hum, combien ce fut bon, mademoiselle inconnue, de t'avoir dit bonjour.


    Que tu descendes, ou que je monte, ton regard, me faisait oublier ma situation d'adolescent, je me sentais tout d'un coup homme sans jamais vouloir grandir.


    Aujourd'hui, au sommet de mes trente ans, je revois tes yeux.


    Les cloches sont aux rendez-vous...


    ...mais je suis parfois triste car tu n'es plus la fille du clocher.





     
     


     

    le point

    20/05/2005 17:39

    le point


    Tu as sans doute remarqué, que cela fait un bon bout de temps que je n'étais pas revenu sur mon journal de  bord.


    A en croire, que je me suis échoué sur une île déserte, mais je ne t'ai pas oublié pour le moins du monde.


    Le temps s'est si vite écoulé, et j'ai plus flané, va-t-on dire sur les chats.


    Le virtuel me permet de m'évader, il y a aussi mes rêves.


    Mais voilà, je rêve, mais je suis trop crevé pour les noter, mais un fois que j'aurai pris le bon rytme, tout rentrera dans l'ordre.


    Mon épave, m'attend dehors, tandis que moi, j'ai cherché un abri pour y passer mes nuits, et sans doute tu t'en ai lassé(e), de ne pas me revoir, et toujours lire les mêmes articles si tu as eu le coeur, d'en lire un.


    Je n'en doute pas.


    J'écris.


    Et c'est long.


    J'en suis conscient.


    Mais j'aime écrire, oui j'apprend les mots, qui viennent et qui doivent être aussi doux qu'un bonbon au miel, sinon je ne l'écrirai pas.


    Je ressents l'orthographe, tantôt droite, et tantôt bizarre, dépendant de l'humeur et des fautes.


    Je dois avant tout ressentir les mots, et tant pis si nous n'avons pas les mêmes dico, c'est mes mots, ma mythologie.


    Je suis le nouveau marin dans mes rêves, dans mes mots, souvent qui ne veulent rien dire, mais espèrent toujours une place dans mes articles, et je m'en soucie, car il y en aura pas pour tout le monde.


    J'avais envie d'écrire aujourd'hui, car j'ai fait le point.


    Ma chef, c'est une femme, mais la plus géniale des femmes, elle a du coeur, et extremement très sociale, et ça se ressent, car c'est une femme très réservée mais très tendre à la fois.


    Elle m'avait demandé comment je trouvais le travail?


    Elle rit.


    Pourquoi?


    Que se passe-t-il dans sa tête pour que je la fasse pouffer de rire.


    Je partage son rire contagieux, je la suis, un rire n'a jamais tué personne, du moment qu'on le fasse avec modération et à condition que l'on soit bien entraîné.


    Mais j'avais ri aussi de bon coeur.


    Avec elle.


    Un télérire, car disons-le, c'est un rire à distance, et Dieu sait combien il est bon de rire.


    Mais j'avais compris pourquoi elle riait.


    Car je lui ai retourné la question, aussi devrais-je rappeler, elle m'avait demandé comment, moi, j'avais trouvé le boulot, si ça me plaisait, si j'aimais bien ce travail, si je m'entendait bien avec l'équipe.


    Oh oui, je me sens bien, à vrai dire, ne soyons pas timide, je ne m'étais jamais senti aussi bien de toute ma vie.


    Une équipe qui bouge, jeune ou vieille peu importe, du moment qu'elle soit intergénérationnelle, au contraire, tout est bon à entendre et à prendre.


    Du coup, j'avais posé ma question, comment me trouvez-vous, y-a-t-il des choses que je dois améliorer?


    Elle m'a fait rire, quand elle m'a dit qu'il fallait passer un peu la deuxieme vitesse, il est vrai que je suis lent, à cause d'être trop vigilant sans doute, car il y a une semaine, j'ai vu une vidéo sur des accidents de fenwiks, et me retrouver nez à nez, ou en dessous d'un engin, non merci, je préfère être lent que d'avoir un facheux accident.


    Et elle m'a dit, il y a un truc chez toi, aussi, c'est qu'on ne sait jamais où tu es.


    J'ai beau me justifier, mais elle n'y voyait rien de mal, aussi j'ai promis que je rendrais compte de mes déplacements, pour améliorer mon quotidien.


     


    Voilà, journée sympathique dans sa plus belle perspective, soleil semi radieux, pluie timide et capricieuse dans nos prévisions, poussière à gogo, mais ça ce n'était pas une surprise, une équipe toujours sympathique.


    Pétard! Serai-je en train de changer?


    Serai-je en train d'aimer le travail?


    Moi, qui disait beurk avant, je m'aperçois qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis!





     
     


     

    Diddle week end

    15/04/2005 17:00

    Diddle week end


    Et aussi spécialement pour ma petite soeur chérie, et toute la famille...

    Un big bisou partout pour mes petits bloguers, je crois que c'était la fesse gauche.


     

    Un big bisou partout pour petites blogueuses, je crois que c'était la fesse droite.


     

    §SMACK§

     

    lol

    ca me fera toujours marrer, mes sottises!

    Bon week end à tous!





     
     

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